Etudes scientifiques sur la méditation de pleine conscience.
Ce que dit la science :
Les effets sur la santé validés scientifiquement.
- Les méditants sont plus heureux, plus sereins que la moyenne et ils ont une vie plus longue et plus saine.
- La pleine conscience améliore la concentration, la mémoire, l’attention, l’endurance physique et mentale.
- Une réduction de l’hypertension artérielle et des marqueurs du stress.
- Une diminution des récidives dépressives sans médicaments dans 40 à 68 % des études.
- Une réduction des douleurs chroniques.
- Résultats quatre fois plus rapides que l’allopathie sur le psoriasis.
- Une réduction de la dépendance aux drogues et alcools.
- Une diminution des migraines, des précordialgies et de l’asthénie.
- Les méditants sont plus autonomes.
Sur le système immunitaire et sur l’inflammation à l’origine de la plupart des maladies cardiovasculaires, du diabète, de la démence et de la dépression.
- Une réduction de 23% de la mortalité globale d’un groupe suivi depuis 19 ans, de 30% pour les maladies cardiovasculaires et de 49 % du cancer.
- Une augmentation de l’efficacité de notre système immunitaire ( grippe, rhume et autres maladies).
- Une diminution des Lymphocytes TCD4 chez un groupe de personnes atteintes du SIDA.
- Une diminution du TNF alpha (augmenté dans les maladies auto-immunes).
- Diminution de l’inflammation (interleukine 6).
En neurosciences (neuroplasticité).
- Une réduction de l’amygdale cérébrale responsable des troubles anxio-dépressifs.
- Une augmentation de l’hippocampe responsable de la mémoire et de la concentration.
- Un épaississement du cortex préfrontal gauche impliqué dans les processus cognitifs positifs émotionnels de bien-être.
- Les réseaux neuronaux sont bien plus connectés chez les pratiquants.
- La méditation dynamise le cortex insulaire médian responsable de nos liens de compassion avec autrui.
En épigénétique.
- Un rallongement jusqu’à des télomères 30% de leur longueur en trois semaines de pratique quotidienne vingt minutes par jour chez des néophytes.